
Un immigrant mexicain qui n’a pas eu de place rapidement en francisation apprend entre autres le français… en écoutant les Têtes à claques.
«Les expressions québécoises, je les apprends avec les Têtes à claques. Je n’arrive pas à tout comprendre, parce qu’ils parlent très vite, mais c’est un bon outil d’apprentissage», raconte Daniel Martin Flores Reyes,le sourire dans la voix.