Depuis plusieurs semaines, les classes de francisation ferment les unes après les autres, à un rythme effréné. Cette situation est d’autant plus préoccupante dans des régions comme l’Abitibi, les Basses-Laurentides et Lanaudière, ainsi que d’autres régions, où les centres de services scolaires (CSS) demeurent le seul point de service pour la francisation.