
Le Québec a revu les critères de sélection des travailleurs qualifiés en immigration, en mettant un accent fort sur la maîtrise du français, notamment à l’écrit. Cette réforme valorise la littératie comme levier d’intégration, mais soulève une incohérence : les tests linguistiques reconnus sont tous conçus à l’étranger, selon des normes qui ne reflètent pas la réalité québécoise. Le texte appelle à développer un test propre au Québec, adapté à sa culture, sa langue et ses besoins.